En novembre, plus de 600 personnes se sont réunies virtuellement pour assister à des séances en anglais et en français, apprendre auprès d’experts du domaine et échanger avec des sœurs turquoise atteintes du cancer de l’ovaire.
Pendant deux soirées, la communauté a discuté d’une variété de sujets, de l’impact du diagnostic à la compréhension de la récidive, en passant par les recherches qui créent un avenir meilleur pour toutes les personnes touchées par cette maladie ou qui en sont à risque.
« Le cancer de l’ovaire c’est un parcours, c’est un cheminement. Vous aurez des journées de pluie et des journées de soleil. Lorsque vous vivez une émotion, accueillez-la. Prenez-la, ne la combattez pas. La bienveillance n’est pas seulement envers les autres, elle commence envers soi-même », a mentionné Sophie Blondin dans sa séance Bien vivre avec le cancer de l’ovaire. Des sœurs turquoise ayant différents antécédents, atteintes de cancer de l’ovaire à différents stades et de différents types, se sont jointes à lSophie pour explorer des stratégies afin de maintenir leur bien-être émotif dès le diagnostic et tout au long des traitements.
Durant cette séance et d’autres, des sœurs turquoise ont échangé sur le travail effectué par les experts et partagé de l’information précieuse sur l’expérience vécue des femmes touchées par le cancer de l’ovaire. « En partageant mon histoire, j’espère devenir le visage de la maladie pour quelqu’un d’autre… Je veux être la personne que je cherchais quand je recevais des traitements », a confié la sœur turquoise Starla Fiddler durant l’une de nos séances en anglais.
Les participants au Symposium national ont profité de cet espace accueillant pour avoir des conversations sincères, poser des questions durant les séances interactives et susciter des discussions en clavardant en direct.
Durant les séances en français de notre Symposium, Julia Laliberté, une sœur turquoise, a partagé son histoire avec Valérie Dinh, directrice régionale, Québec chez Cancer de l’ovaire Canada et discuté de l’importance de redonner au suivant. La Dre Diane Provencher, gynécologue oncologue au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), a discuté avec les sœurs turquoise Annie-France Gingras et Nancy Pomerleau de la façon dont les inhibiteurs PARP changent le traitement du cancer de l’ovaire.
Nous avons aussi pris le temps de rendre hommage à nos bénévoles dévoués. Mapy Villaudy, vice-présidente du marketing et des communications, a annoncé les gagnants du Prix de l’espoir Peggy Truscott 2022, remis à des membres exceptionnels de la communauté déterminés à susciter des changements significatifs et à attirer une attention très nécessaire sur cette cause.
D’autres occasions d’apprendre, d’échanger et de constater votre impact vous seront bientôt offertes. Surveillez votre boîte de courriel pour connaître les activités à venir, et suivez Cancer de l’ovaire Canada sur Facebook et Twitter.
Cancer de l’ovaire Canada accélère la recherche et la fait passer à un niveau supérieur. La prochaine percée importante est imminente. Vos dons nous permettent de poursuivre notre travail. Pourriez-vous envisager de faire un don aujourd’hui afin que plus de femmes puissent vivre pleinement, plus longtemps et en meilleure santé?