Nous ne savons actuellement que très peu de les tumeurs séreuses de haut degré choses sur son développement. Heureusement, cette réalité pourrait être appelée à changer grâce aux efforts du Dr Yojiro Yamanaka.

Alors que des scientifiques, des stagiaires de recherche et des spécialistes se réunissaient à Edmonton dans le cadre de la Conférence canadienne de recherche sur le cancer de l’ovaire, des femmes et des familles de tous les coins du pays assistaient à un atelier sur la survie.

Yikan Wang reçoit le premier Prix Anita Unruh

Ce test ne convient pas encore au dépistage du cancer de l’ovaire

Depuis des années, le Dr Jim Petrik et son équipe au laboratoire de l’Université de Guelph s’efforcent d’améliorer la qualité des vaisseaux sanguins à l’intérieur des tumeurs. Même si on pourrait croire que cela favorise la croissance de la tumeur, cette approche est prometteuse pour améliorer l’administration des traitements.

Durant la chimiothérapie, les cellules cancéreuses changent. Dans certains cas, elles peuvent survivre au traitement et l’autophagie pourrait expliquer ce phénomène.

L’Institut ontarien de recherche sur le cancer a annoncé récemment le lancement de cinq projets d’envergure portant sur différents types de cancer.

Le financement conjoint de deux études prometteuses a récemment été accordé par Cancer de l’ovaire Canada et la Société de recherche sur le cancer.