Blog
Lisez les publications récentes des membres clés de la communauté de Cancer de l'ovaire Canada.
La Journée mondiale du cancer de l’ovaire aura lieu bientôt, le 8 mai. C’est une journée internationale de reconnaissance – une journée pour faire entendre nos voix et exiger l’attention. La directrice générale Tania Vrionis parle du pouvoir de la communauté, de notre engagement à aller de l’avant et de la façon dont nous pouvons joindre encore plus de personnes touchées par le cancer de l’ovaire, de personnes à risque élevé de cette maladie et de citoyens préoccupés qui savent que tout le monde mérite de vivre pleinement. Ensemble, nous pouvons améliorer le pronostic et nous allons le faire.
La directrice générale Tania Vrionis explique comment vos dons sont utilisés immédiatement. En fournissant de l’information, du soutien et en améliorant les capacités de recherche sur le cancer de l’ovaire, nous prenons le Canada d’assaut. Découvrez pourquoi l’avenir est prometteur.
La directrice générale Tania Vrionis réfléchit sur le pouvoir de notre communauté et le sentiment de responsabilité qui accompagne une meilleure connaissance du cancer de l’ovaire. Le soutien de personnes d’un bout à l’autre du Canada ouvre la voie à des progrès dans la lutte contre cette maladie. Découvrez pourquoi nous avons toutes les raisons d’espérer.
Nous vous présentons Tania Vrionis, la nouvelle directrice générale de Cancer de l’ovaire Canada. Après ses quelques premières semaines en poste, Tania nous confie ses expériences passées, ce qui l’inspire aujourd’hui et ce qu’elle a appris au sujet de la communauté de femmes et de familles touchées par cette maladie.
Faisant partie des récipiendaires d’un Prix de défense des droits des patientes décerné par l’International Gynecologic Cancer Society, la directrice générale Elisabeth Baugh partage cet honneur avec la communauté et réfléchit à ce qu’il signifie pour nous tous. Une longue lignée de femmes puissantes a mené Cancer de l’ovaire Canada là où il en est aujourd’hui. Elisabeth partage l’histoire d’Eileen Beadle, récipiendaire du Prix Virginia Greene de cette année.
La directrice générale Elisabeth Baugh explique pourquoi il est plus important que jamais cette année de participer à la prochaine évolution de la Randonnée de l’espoir de Cancer de l’ovaire Canada le dimanche 12 septembre. Elle se rappelle quelques moments marquants de ses voyages d’un bout à l’autre du pays au fil des ans, et raconte comment tout a commencé.
Le printemps est souvent synonyme d’espoir retrouvé et d’optimisme. Cette année ne fait pas exception à la règle, alors que la campagne de vaccination pour nous protéger contre la COVID-19 nous rapproche d’une nouvelle normalité. La Journée mondiale du cancer de l’ovaire approche, et ça me rend particulièrement fière, en tant que présidente de la World Ovarian Cancer Coalition.
Alors que la pandémie continue à faire les manchettes, je vous écris aujourd’hui pour vous transmettre des nouvelles plus positives. En tant que membre de notre communauté, vous êtes en position de pouvoir. Parce que votre soutien à Cancer de l’ovaire Canada boucle la boucle.
Alors que d’autres organismes ont dû effectuer des coupures, nous progressons sans relâche sur tous les fronts. Même si notre budget n’a jamais été aussi serré, Cancer de l’ovaire Canada défend la santé et le bien-être de toutes celles qui sont touchées par cette maladie et de celles qui en sont à risque, tout en permettant aux laboratoires des principaux établissements du pays de poursuivre leurs activités.
Grâce à votre soutien, Cancer de l’ovaire Canada reste fort et représente une source d’espoir pour les femmes et les familles de l’ensemble du pays.
Cette année, l’arrivée de la saison froide suscite des émotions très différentes. Comme la pandémie nous oblige à rester à l’intérieur et isolés, les femmes et les familles touchées par le cancer de l’ovaire pourraient trouver cette période particulièrement difficile. J’ai donc pensé qu’il était grand temps de se rappeler que nous sommes toujours ensemble, même si nous devons maintenir une distance physique sécuritaire.
Les liens qui nous unissent sont plus solides que n’importe quel virus, plus forts que n’importe quelle maladie.