Rédactrice invitée : Julie

À l’automne 2020, en pleine pandémie mondiale, j’ai reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire séreux de haut grade au stade 3, comme 70 % des patientes qui reçoivent un diagnostic de cette maladie. Comme de nombreuses femmes, j’ai eu du mal à obtenir des réponses de mon équipe soignante. Il y a plusieurs choses que je voulais désespérément savoir. Comment mon cancer de l’ovaire allait-il progresser? Comment pourrais-je composer avec la maladie? De quel soutien aurais-je besoin? En l’absence de réponses, j’éprouvais de l’anxiété et de l’incertitude.

Mais quand j’ai communiqué avec Cancer de l’ovaire Canada, sept mois après ma première intervention chirurgicale, tout a changé.

L’ACTION, SOURCE D’ESPOIR

Après avoir passé 35 ans de carrière dans un monde à la dynamique complexe et politique, j’ai été soufflée de constater la formidable culture d’interaction et de collégialité, aussi bien chez Cancer de l’ovaire Canada que dans toute la communauté de recherche sur le cancer de l’ovaire. Ça m’a donné de l’espoir.

Ce sentiment d’espoir a alimenté mon désir de m’impliquer. Je me suis jointe au programme novateur des patientes partenaires en recherche de Cancer de l’ovaire Canada, dans le cadre duquel des patientes partagent leur expérience vécue pour orienter la recherche. Ça m’a permis de constater comment Cancer de l’ovaire Canada utilise ses ressources limitées de manière stratégique pour maximiser le rendement de ses investissements en recherche et susciter des progrès réels et tangibles pour des patientes comme moi.

Donnez maintenant pour avoir deux fois plus d’impact.

Votre don sera doublé jusqu’à concurrence de 25 000 $ d’ici au 31 décembre 2024 à 23 h 59.

Dre Amal El-Naggar Chercheuse dans le domaine du cancer de l’ovaire

LE POUVOIR DU PROGRÈS

Des percées remarquables ont été réalisées pour certaines femmes atteintes du cancer de l’ovaire, en particulier pour celles qui sont porteuses de mutations du gène BRCA. Les inhibiteurs PARP, une nouvelle classe de traitements, constituent une bonne nouvelle qu’elles attendaient depuis longtemps. Mais pour les femmes comme moi – les 80 % de patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire séreux de haut grade qui ne sont pas porteuses d’une mutation du gène BRCA – l’attente continue. Je suis déterminée à changer la donne.

Je veux faire en sorte que toutes les patientes, quel que soit leur profil génétique, aient accès à des traitements novateurs qui peuvent prolonger leur vie. Et je suis convaincue qu’on peut y arriver grâce à des recherches judicieuses et ciblées.

INVESTIR DANS LES PERCÉES DE DEMAIN

Je soutiens Cancer de l’ovaire Canada et ce qui m’emballe, c’est la vitesse à laquelle on commence à réaliser des progrès. En seulement deux ans, j’ai vu la recherche passer des projets exploratoires à des études plus ciblées et des essais cliniques qui nous rapprochent de plus en plus de percées significatives.

Nous vivons un moment crucial pour la recherche sur le cancer de l’ovaire. Je suis convaincue que les économies durement gagnées que j’ai confiées à l’organisme auront des bienfaits maximaux pour les patientes. Chaque don nous rapproche d’une meilleure compréhension de cette maladie complexe et de la découverte de nouvelles options de traitement.

ENSEMBLE, NOUS POUVONS CHANGER L’AVENIR

Le taux de survie du cancer de l’ovaire n’a pas changé depuis que la sœur de mon père, Margaret, est décédée il y a près de cinquante ans, à l’âge de seulement 49 ans. Ma tante avait six enfants, dont mes quatre cousines, qui se sont inquiétées pendant toute leur vie d’avoir hérité de sa maladie. Il est donc ironique que ce soit moi qui finisse par recevoir un diagnostic, alors que je ne me suis jamais souciée du cancer de l’ovaire. Mon père aura perdu son unique sœur et sa seule fille des suites de cette terrible maladie.

« Mais je suis déterminée à changer le cours de l’histoire pour les prochaines générations... »

Mais je suis déterminée à changer le cours de l’histoire pour les prochaines générations de ma famille, et pour les milliers d’autres femmes comme moi.

Si vous faites un don à Cancer de l’ovaire Canada, je l’égalerai à raison d’un dollar pour un dollar. Ça veut dire que votre don ira deux fois plus loin pour appuyer des recherches qui sauveront des vies et continuera à offrir de l’espoir à des femmes comme moi. Ensemble, nous pouvons susciter des changements réels.

Votre don sera doublé jusqu’à concurrence de 25 000 $ d’ici au 31 décembre 2024 à 23 h 59. Donnez maintenant pour avoir deux fois plus d’impact :